"I'm pink, so what ?" : "Je suis rose, et alors ?" arborait ma nièce sur son T-shirt de la Panthère rose cet été.
Et alors ? C'est la première des petites phrases qui constituent des antidotes au poison émotionnel, celui que l'on peut distiller soi-même dans son discours intérieur (j'ai fait ceci..., j'ai fait cela..., j'aurais dû..., j'aurais pu..., ce n'est pas assez..., c'est trop..., on va penser que...). Juste quelques mots, des petites phrases qui aident, toutes simples et très puissantes.
Et alors ?
Cette petite phrase, je me la dis souvent comme antidote à l'auto-jugement. Elle me donne aussitôt un sentiment de liberté.
Elle me dégage de la pression d'un regret, d'un reproche que je pourrais m'adresser ou quelqu'un d'autre, et surtout d'un jugement.
Elle me fait basculer du passé (regret, reproche) au présent.
A suivre... / to be continued
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